Par la rédaction de Contrepoints.
Dix huit mille bolivars. Au taux actuel, cela représente 2,25 euros. C’est le montant de la retraite mensuelle de Guadalupe Josefina Ávila, ancienne directrice d’école vivant à Maracaibo, deuxième ville du Venezuela.
Ses sandales sont usées, sa robe est trop large, et son frigo est vide. Elle témoigne pour Contrepoints de son quotidien difficile et de son envie aussi de changer de régime.
Selon un expert de l’Agence onusienne pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Venezuela devrait faire son entrée en 2019 dans la liste des pays en “crise alimentaire aiguë”.
Images : Matthieu Comin.
elle a une vie sobre. si elle acceptait de voir le bon coté des choses et la problématique climatique …
Et l’autre François, au lieu de rugir, devrait faire la diète.
Mais eux, c’estpaspareil … ❗
Quel triste reportage !
A montrer en boucle sur toutes les chaînes de télé françaises pour voir où nous mène la politique socialiste de Chirac, Hollande et Macron.
Mais malheureusement ça ne servira à rien. Au lycée, les profs nous disaient que le communisme en France n’aurait rien à voir avec celui de l’Union Soviétique. Et quand je donne en exemple l’échec des pays socialistes aux Socialites, c’est toujours la faute des autres : la propagande américaine, les embargos américains, les pays capitalistes qui les exploitent etc.
Et il y a encore des abrutis qui disent que c’est la faute du blocus américain…
C’est bien que les peuples goutent aux fruits pourris de leurs idées nauséabondes… S’il y en a qui n’ont jamais cru en Chavez et qui sont malgré eux dans la même situation elle a peut-être voté pour le camp du bien à une époque cette dame ?
Ce serait bien si les peuples avaient des idées par eux-mêmes, et ne subissaient pas le conséquences de celles qu’on leur impose à l’insu de leur plein gré.